Mailand: Haftstrafen für Politiker im italo-algerischen Korruptionssumpf der ENI gefordert. (Das italienische Petro-Unternehmen ENI steht außerdem unter Verdacht, in Zusammenarbeit mit italienischen Geheimdiensten libysche Milizen zur Boat-People-Bekämpfung rekrutiert zu haben.)
El Watan | 27.02.2018
Lors du procès, hier à Milan, de la compagnie italienne Eni et de sa filiale Saipem pour «corruption internationale», des peines de prison ont été requises contre l’ex-patron de l’Eni, Paolo Scaroni, d’anciens responsables des deux compagnies et Farid Bedjaoui, Samir Ouraied et Omar Habour.
Mohand Aziri
Un tournant décisif dans le procès Saipem à Milan. Hier, à l’issue d’une deuxième – et interminable – audienzia préliminaire (étape précédent le procès), le procureur du ministère public de Milan, Palma Isodoro, a requis la peine de 6 ans et 4 mois de prison ferme contre Paolo Scaroni, ex-président-directeur général du géant italien des hydrocarbures, ENI, accusé de «corruption internationale» et «fraude fiscale».