Handbuch zu den europarechtlichen Grundlagen im Bereich Asyl, Grenzen und Migration
http://www.lalibre.be/actu/international/ces-clandestins-qui-divisent-l-europe
Ces clandestins qui divisent l’Europe
GILLES TOUSSAINT
Malte a refusé d’accueillir un groupe de migrants clandestins. Une décision qui a suscité des tensions avec la Commission européenne. Et qui illustre les failles de la politique communautaire en la matière.
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Le Courrier des Balkans
Croatie : vaste coup de filet anticorruption, le chef de la police de Vukovar arrêté
http://balkans.courriers.info/article22992.html
Mise en ligne : dimanche 4 août 2013 Seize personnes ont été arrêtées jeudi dernier dans le cadre d’une affaire de corruption, d’abus de pouvoir et de trafic d’influence.
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http://www.themonthly.com.au/blog/richard-cooke/
http://www.themonthly.com.au/blog/richard-cooke/2013/07/30/1375142271/bogans-and-boat-people-pt-2/a>
Bogans and boat people
The failure of the pro-refugee movement
The Papua New Guinea solution marks the symbolic failure of the humanitarian case for refugee resettlement in Australia. More than a decade of persuasion, from the infographics posted on Facebook, the outraged theatre, the lip-sewing, the incantations that ‘there is no queue’ – none of it had the impact of Ray Hadley playing a foghorn sound on his show every time a new boat arrived. The one win of the pro-boats movement has been to shift their opponents onto faintly more compassionate grounds. The punitive treatment of boat-borne asylum seekers now comes with an added veneer – the prevention of drownings at sea. Around 80% of voters support never resettling boat people on the mainland.
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This is a Video Report of Taksim Resistance Tent of in Berlin ( at moment only in german )
We will be happy if you Share Video on Your Communities and Websites.
Struggle continues!
Video-Link:
http://youtu.be/JIFRVLjxiqQ
CrossPoint:
www.cross-point.tv
Patrick Kroker, a German Lawyer whom we were recently in contact with through ECCHR in Berlin offered this preliminary analysis of the Salamis case that may also be useful to define the legality or illegality of the practice of „privatised pushbacks“.
Patrick Kroker, un avocat allemand avec lequel nous avons récement été en contact via ECCHR à Berlin nous à envoyé cette analyse préliminaire du cas Salamis et qui pourrait être utile pour définir la légalité ou l’illégalité de la pratique des „pushback privatisé“.
He asks us to specify that:
„please do make sure to make clear that this is only a brief and preliminary analysis. I only had a couple of hours to work on it today and before being quoted on it, I would like to conduct a more thorough research on the issue. But in case the analysis helps someone „private push back“ cases, I am more than happy, of course.“
updated informations about the „Salamis-case“:
The tanker arrived yesterday in Syracus/Sicily with all 102 boatpeople, coming mainly from Sudan and Eritrea, and starting now their asylum procedures …
And the Salamis went back to Malta in the meanwhile, obviously without any attempt from authorities to try to criminalize the Captain and the crew for their rescue-operation (and as some of us had feared before because of earlier experiences).
Présidentielle malienne : le second tour vu de KidalMNLA399 – Kidal174 – soumaïla cissé75 – touaregs5407/08/2013 à 09h:36Par Baba AhmedDiminuer la taille du texte Augmenter la taille du texte Imprimer Envoyer Partager cet article Des listes électorales à Kidal, lors du premier tour de la présidentielle. Des listes électorales à Kidal, lors du premier tour de la présidentielle. © AFPÀ Kidal, au nord du Mali, aucun des deux candidats qualifiés pour le second tour de la présidentielle, Soumaïla Cissé et Ibrahim Boubacar Keïta, ne suscite l’enthousiasme de la population. Dans le fief des Touaregs, les manifestations pro-rebelles se succèdent dans un climat toujours tendu.Si à Bamako, l’ambiance est à la négociation d’alliances autour de Soumaïla Cissé et d’Ibrahim Boubacar Keïta en vue du second tour de la présidentielle, prévu le 11 août, Kidal, elle, la ville symbole de la division du pays, vit toujours à l’heure de la contestation. Mardi 6 août, des dizaines de jeunes et des femmes ont organisé une nouvelle marche de soutien aux rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l’Azawad MNLA. « Ils ont remis une lettre à la force Serval et à la Minusma pour demander la libération de détenus touaregs à Bamako », dit le gouverneur de la région Adama Kamissoko, à Kidal.C’est déjà dans un climat tendu que le premier tour a eu lieu, le 28 juillet. Beaucoup d’électeurs n’ont pas réussi à trouver leurs bureaux de vote, tandis que d’autres, notamment ceux de localités éloignées telles Tin-Essako, n’ont pas fait le déplacement en cette période de ramadan et d’hivernage.Très faible participationAutre difficulté : les réticences culturelles des Touaregs à se soumettre à certaines mesures de sécurité imposées par la Minusma force onusienne aux abords des bureaux de vote. « Ils n’aiment pas être fouillés en public et enlever leur turban. Ce qui fait que beaucoup sont restés à la maison », explique un responsable de l’administration malienne à Kidal. Conséquence : un très faible taux de participation au premier tour 12,24%.En ira-t-il autrement pour le second ? Jusque là, rien ne permet de le dire. « Ici, on prépare plutôt la fête de l’Aïd el-Fitr [qui marque la fin du ramadan, le 7 ou le 8 août, ndlr], dit Rhissa Ag Abidine, un jeune Kidalois. Rien ne montre qu’on est en période d’élection », poursuit-il. « Il n’y a pas de campagne présidentielle, confirme Sidi Mohamed Ag Natt, un autre jeune de Kidal. On ne sait pas qui est le meilleur entre Soumaila Cissé et IBK, mais les gens parle beaucoup du second comme favori. »Éducation électoraleComme les jeunes, qui passent beaucoup de temps à manifester quand ils ne restent pas à l’ombre pour jeûner, les notables de Kidal prennent une certaine distance avec l’élection. Une fausse indifférence qui n’empêche pas les autorités gouvernementales de travailler d’arrache-pied à gommer les erreurs du premier tour. « Nous avions par exemple affiché les listes d’électeurs quatre jours avant le scrutin. Or beaucoup ont été arrachées par le vent. Cette fois, nous allons les placarder la veille du vote, le samedi. Nous éduquons aussi les gens sur la bonne manière d’utiliser l’encre afin d’éviter les bulletins nuls », explique le gouverneur, Adama Kamissoko.___Baba Ahmed