In Merseburg haben Aktivist*innen am Montag Morgen eine Abschiebung verhindert.
Die Mitteldeutsche Zeitung berichtet auf ihrer Internetseite. Etwa 70 Personen haben am Montag Morgen vor einem Gebäude in der König-Heinrich Straße gegen die Abschiebung einer siebenköpfigen Familie protestiert. Eine Sprecherin der Protestieren hat gegenüber Radio Corax erklärt, dass eines der Kinder der Familie noch im Krankenhaus liege. Die Gruppe wolle nicht zulassen, dass die Familie auseinandergerissen werde.
Am Freitag, den 20.02. 2015, sollte der Eritrea M., der in Gießen lebt und aus Eritrea geflüchtet ist, nach Italien abgeschoben werden. Das hieße für ihn, wie für alle Geflüchteten die sich in Italien aufhalten müssen: Obdachlosigkeit, Armut, Hunger und Aussichtslosigkeit. Der Italienische Staat bringt selbst die rudimentärste Versorgung von Asylsuchenden nicht auf.
Laut der Dublin-III-Verordnung ist jenes EU-Land für das Asylverfahren eines geflüchteten Menschen verantwortlich, dass sie oder er zuerst betreten hat. Im Falle M.s und tausender Menschen, die Europa über das Mittelmeer erreichen ist dieses Land Italien.
Immer mehr Flüchtlinge kommen nach Deutschland – allein für 2015 rechnen die Behörden mit mindestens 300.000 Asylanträgen. Gleichzeitig erreicht die Zahl der Abschiebungen den höchsten Stand seit acht Jahren.
Berlin – In der Bundesrepublik sind im vergangenen Jahr insgesamt 10.884 Menschen abgeschoben worden. Das sind so viele wie seit 2006 nicht mehr. Das geht aus einer Antwort der Bundesregierung auf eine Kleine Anfrage der Linksfraktion im Bundestag hervor. Die Zahl der Abschiebungen sei nach Jahren des Rückgangs 2014 das zweite Mal in Folge gestiegen, heißt es in der Antwort der Regierung, über welche die „Neue Osnabrücker Zeitung“ berichtet. Höher war die Quote zuletzt 2006 – damals wurden 13.894 Menschen abgeschoben. 2013 war erstmals wieder die 10.000er-Marke überschritten worden (10.198 Abschiebungen).
On Tuesday, 10th of February, the Moroccan authorities launched a large-scale operation to arrest and deport hundreds of migrants. They tormed the Gurugu mountain, destroying and burning the camp, and arresting around a thousand people who were than brought into a makeshift camp.
Their photo, prints and nationalities were recorded. In the course of the day, between 20 and 30 busses left for Southern Morocco and distributed the Gurugu detainees around a dozen different cities: Errachidia, Goulmina, El Jadida, Safi, Kelaat, Sraghna, Chichaoua, Tiznit, Essaouira, Youssoufia, Agadir. Up until now, most people remained imprisoned in different houses, they are given food and clothing. Although they are being told that they will be freed soon, and that the Moroccan state is only taking their ID in order to regularize them, it seems more like the Gurugu inhabitants will be deported.
Communiqué de presse du GADEM
Lundi 9 février 2015, lors d’une conférence de presse, le ministre délégué aux affaires intérieures, M. Charki Draiss, annonçait de manière unilatérale la fin de l’opération exceptionnelle de régularisation des migrants sans papiers, amorcée en janvier 2014. Cette annonce étonnante intervient alors que la commission nationale de suivi et de recours[1] instaurée conformément aux dispositions de la circulaire conjointe du ministère de l’intérieur et de celui en charge des affaires migratoires de décembre 2013[2], n’avait pas encore amorcé le processus d’examen des demandes rejetées en première instance par l’administration marocaine.
Français / English
Appel – Besoins urgents de fonds pour soutenir les blessés et ceux qui ont été expulsés après les rafles de la police ce matin dans la forêt de Gurugu et à Nador
A diffusez…..diffusez……….diffusez
Madrid – Campaigners on Thursday demanded that Spain halt the deportation to Morocco of a man who fears being tortured there after being sentenced over unrest in the disputed territory of Western Sahara.
Rights activist Hassanna Aalia, aged 26, is demanding political asylum in Spain but says Spanish authorities have turned down his request. He told AFP he faces torture in jail in Morocco. Weiterlesen »
Par La rédaction
Les voyageurs du vol AH 2063 d’Air Algérie en provenance de Bruxelles se sont révoltés vendredi pour empêcher l’expulsion d’un Algérien de la Belgique. Les passagers ont vigoureusement protesté contre la police belge qui a décidé, par la suite, de céder aux réclamations des passagers algériens en évacuant à la dernière minute le migrant l’algérien de l’avion d’Air Algérie.
Quand les Algériens se montrent solidaires, ils peuvent faire retourner les situations les plus compliquées. Preuve en est, les passagers du vol AH 2063 d’Air Algérie en provenance de Bruxelles, vendredi 5 décembre, ont résisté face à l’expulsion d’un Algérien qui résidait en Belgique. Après deux heures de retard, les voyageurs algériens ont réussi à obliger les policiers belges d’annuler cette expulsion.
«Je ne suis pas un criminel»
Une vidéo, publiée par la chaîne privée Ennahar TV, montre une altercation entre les passagers du vol d’Air Algérie et les policiers belges. A l’origine de ces démêlés qui ont provoqué un retard de deux heures, la présence, à bord de l’appareil, d’un passager peu ordinaire. Il s’agit selon les policiers belges d’un algérien qui fait l’objet d’une procédure d’expulsion. Qualifié de criminel dangereux et récidiviste par les policiers belges, le quadragénaire était contraint de quitter le sol belge pour retourner en Algérie. Mais à bord de l’avion, l’homme insiste et crie pour clamer son innocence en accusant les policiers de brutalité et en priant les passagers de l’aider pour ne pas quitter la Belgique. « Je suis malade, je ne veux pas quitter la Belgique, aidez-moi mes frères, je ne veux pas retourner en Algérie », implorait-il. Par solidarité, d’autres par peur de voyager en compagnie d’un homme que la police a qualifié de «criminel dangereux », les passagers sont montés au créneau pour dénoncer cette expulsion. Les voyageurs qui se sont livrés à un véritable bras de fer ont fini par faire céder la police belge. Cependant, après le départ du détenu algérien de l’avion, les policiers sont revenus pour interpeller une passagère, quinquagénaire, accusée d’avoir provoqué la protestation. Malgré la mobilisation des passagers, cette fois encore, pour signifier aux policiers belges que tous les passagers ont protesté contre leur procédure d’expulsion, la femme a été contrainte de quitter l’avion en compagnie des policiers belges sans aucune intervention de l’équipage d’Air Algérie. Dans une déclaration à nos confrères de Tout sur l’Algérie, les membres de l’équipage ont expliqué qu’”avant son d’écolage l’avion est sous l’autorité de la police belge”.
Nourhane. S.
Real Risk of Serious Harm
All countries should allow civilians fleeing Libya, including third country nationals who have been living there, access to their territories. Other countries should suspend forcible returns of civilians to any location in Libya until the security and human rights situation has improved sufficiently to allow for a safe and dignified return.
Bill Frelick, refugee program director at Human Rights Watch
The armed conflicts and lawlessness in Libya are giving rise to indiscriminate violence and widespread human rights abuses. As a result, anyone forcibly returned to any part of Libya would be exposed to a real risk of serious harm, which would constitute what is known as refoulement under international law.
Pilot Initiative on Return to Third Countries
„Pilot Initiative on Return to Third Countries.
Non-paper of the Commission Services and EEAS: state of play and next steps in view of discussions in COASI and COAFR
The pilot initiative on return was discussed originally in the JHA Council in March 2014 as a Dutch initiative proposing to use the leverage, available in overall bilateral relations with particular third countries, in order to improve the return rate of irregular migrants from the EU Member States to those countries. Following this discussion, in its June 2014 conclusions on return, the JHA Council endorsed: „launching an initiative on a pilot project concerning a number of selected third- countries of origin […] [ in order] to mobilise all adequate means in the framework of the more for more principle, to stimulate the selected pilot third countries to comply with their international obligations, to improve return rate“. […]“
