23. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für Niger: la difficile reconversion d’Agadez · Kategorien: Niger · Tags: , ,
Reportage aus Agadez über die wirtschaftlichen Auswirkungen der Migrationsbekämpfung
Le Niger est un pays de transit et de départ de l’émigration irrégulière vers l’Europe. Depuis fin 2016, les autorités tentent de lutter contre ce phénomène. Les efforts des autorités se concentrent autour de la ville d’Agadez, dans le centre du pays. Située aux portes du désert du Ténéré et classée patrimoine mondial de l’Unesco, Agadez a, pendant plusieurs années, attiré énormément de touristes amoureux du désert. Mais l’insécurité a changé la donne de cette région, qui s’est progressivement développée autour d’une économie parallèle reposant sur la migration. Aujourd’hui encore, les habitants cherchent de nouveaux débouchés.

Aladji Mama Ousmane, la cinquantaine, construit de ses mains un four traditionnel. Avant, il réceptionnait les migrants arrivant de toute la sous-région à la gare routière d’Agadez. Puis il les conduisait vers un foyer géré par des passeurs. Weiterlesen »

23. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für Algerien: Proteste gegen Massenabschiebungen · Kategorien: Algerien, Mali, Niger · Tags:

http://www.elwatan.com/actualite/la-polemique-enfle-22-05-2018-368659_109.php

Expulsion des migrants subsahariens: La polémique enfle

Taille du texte normaleAgrandir la taille du textele 22.05.18 | 12h00

Les expulsions massives des migrants subsahariens et le traitement qui leur est réservé suscitent une vive polémique. Face aux démentis des autorités et de la présidente du Croissant-Rouge algérien, Saïda Benhabylès, les ONG continuent de s’indigner. En effet, après le lancement d’une pétition signée par des ONG nationales, des intellectuels et des défenseurs des droits de l’homme demandant la suspension des expulsions, c’est au tour de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) d’accuser l’Algérie d’avoir abandonné des Subsahariens dans le désert. Selon l’OIM, l’Algérie «serait responsable de l’abandon dans le désert nigérien d’une partie des 10 000 migrants subsahariens qui s’y trouvent depuis septembre dernier et qui ont été pris en charge par l’OIM». Brandissant des photos et des vidéos, le chef de mission au Niger de l’OIM, Giuseppe Loprete, s’est même indigné du sort qui leur a été réservé en pointant la responsabilité de l’Algérie. Parmi ses nombreuses publications sur Twitter, le responsable de l’OIM diffuse aussi une vidéo sur laquelle un ressortissant malien «affirme avoir été expulsé vers le Niger, alors qu’il était entré légalement sur le territoire algérien». Selon lui, «il y avait même des personnes qui détenaient des billets d’avion que les autorités ont empêché d’effectuer le retour par voie aérienne». En outre, selon l’OIM, deux personnes auraient péri au cours de leur traversée du désert.

Plusieurs médias occidentaux ont diffusé, ces dernières semaines, des vidéos montrant des migrants subsahariens qui affirment également avoir été abandonnés par les autorités algériennes en plein désert lors de leur expulsion. Par ailleurs, dans une déclaration rendue publique hier, le bureau d’Oran de la LADDH répond à Saïda Benhabylès. «Le bureau d’Oran de la LADDH, dont les membres ont eu à cœur de signer, comme d’autres Algériens et Algériennes, cette pétition, regrette qu’une ONG censée être indépendante et participer à soulager la douleur des travailleurs migrants se mettre à vouloir cacher le soleil avec le tamis», explique la LADDH.

16. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für Expanding the fortress – Report · Kategorien: Afrika, Europa, Hintergrund, Mittelmeer, Mittelmeerroute · Tags:

tni | 11.05.2018

The policies, the profiteers and the people shaped by EU’s border externalisation programme

The EU has made migration control a central goal of its foreign relations, rapidly expanding border externalisation measures that require neighbouring countries to act as Europe’s border guards. This report examines 35 countries, prioritised by the EU, and finds authoritarian regimes emboldened to repress civil society, vulnerable refugees forced to turn to more dangerous and deadly routes, and European arms and security firms booming off the surge in funding for border security systems and technologies.

Executive Summary

The plight of the world’s 66 million forcibly displaced persons seems to only trouble the European Union’s conscience when the media spotlight turns on a tragedy at Europe’s borders. Only one European nation – Germany – is even in the top ten countries worldwide that receive refugees leaving the vast majority of forcibly displaced persons hosted by some of the world’s poorest nations. The invisibility therefore is only broken when border communities such as Calais, Lampedusa, Lesvos become featured in the news as desperate people fleeing violence end up dead, detained or trapped.

Expanding the fortress infographic. Click to enlarge

These tragedies aren’t just unfortunate results of war or conflict elsewhere, they are also the direct result of Europe’s policies on migration since the Schengen agreement in 1985. This approach has focused on fortifying borders, developing ever more sophisticated surveillance and tracking of people, and increasing deportations while providing ever fewer legal options for residency despite ever greater need. This has led many forcibly displaced persons unable to enter Europe legally and forced into ever more dangerous routes to escape violence and conflict. Weiterlesen »

15. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für The new European border between Niger and Libya – Open Migration · Kategorien: Europa, Hintergrund, Italien, Libyen, Niger · Tags: , ,

The new European border between Niger and Libya

May 11, 2018 – Giacomo Zandonini

March 2017 was coming to a close when Italian Interior Minister Marco Minniti gathered a number of local leaders from Fezzan, in the southwestern region of Libya, to negotiate a peace agreement in Rome. His goal was to end hostilities between the Toubou, Tuareg, and Awlad Suleiman tribes, and to regain control over the border with Niger, the main entry point for migrants. One year later the invisible line dividing the two countries is still the focus of European attention, but the agreement seems bound to fail and Niger has stopped evacuating migrants from Libya. This is the third and last episode of Giacomo Zandonini’s reportage from Niger. Weiterlesen »

04. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für „UNO-Organisation rettet tausende Migranten aus der Sahara“ · Kategorien: Afrika, Sahel · Tags:

Dlf24 | 04.05.2018

Die Vereinten Nationen haben nach eigenen Angaben seit Jahresbeginn mehr als 3.000 Migranten aus der Sahara gerettet.

Die Internationale Organisation für Migration – IOM – sagte dem Evangelischen Pressedienst, die meisten Menschen seien in einem sehr schlechten Zustand gewesen und hätten umgehend Wasser, Lebensmittel und medizinische Hilfe erhalten.

Die IOM unterhält im Norden des Niger ein Auffanglager. Die meisten Menschen, die sich dort aufhalten, sind Migranten aus Ländern südlich der Sahara, die Europa erreichen möchten. Ihnen wurde die Einreise nach Algerien verweigert.

04. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für „Mali: Barkhane dément toute complicité avec les groupes armés“ · Kategorien: Frankreich, Mali · Tags:

Das französische Militär, das im Sahel unter dem Operationsnamen „Barkhane“ den internationalen Kriegseinsatz anführt, wird beschuldigt, bei den jüngsten Massakern in Nord-Mali (Region Menaka) Komplize oder gar Strippenzieher gewesen zu sein. In den internationalen Medien werden für diese Massaker hingegen interethnische Spannungen oder Dschihadisten verantwortlich gemacht. Das französische Militär arbeitet in dieser Region mit lokalen Milizen zusammen.

rfi Afrique | 03.05.2018

Les questions se multiplient dans la région de Menaka au Mali suite à la mort de civils par dizaines ces dernières semaines et derniers jours. Les victimes appartiennent essentiellement à deux commaunutés, les Touarègues daoussahak et les Peuls. Difficile pour l’heure de dire si ces civils ont été tués par des terroristes, par des forces qui luttent contre ces terroristes ou s’ils sont victimes d’amalgames et de représailles sur des bases communautaires. Suite à ces violences, la force française Barkhane se retrouve au coeur d’une polémique.
La force Barkhane est accusée par certaines voix de complicité, puisqu’elle travaille ponctuellement dans la région avec les groupes armés du MSA et du GATIA qui sont accusés d’être responsables de certaines des exactions constatées.

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04. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für „Hunger in Afrika“ · Kategorien: Afrika, Sahel · Tags: ,

UNICEF | 03.05.2018

Die drei UN-Organisationen UNICEF, FAO und WFP warnen vor einer Hungerkrise in der Sahel Zone

Dürre, hohe Lebensmittelpreise und Konflikte werden Millionen von Menschen in Teilen der Sahel-Region Westafrikas in eine akute Hungerkrise stürzen, wenn die internationale Gemeinschaft nicht schnell gegensteuert.

Davor warnten heute das UN-Kinderhilfswerk UNICEF, das Welternährungsprogramm (WFP) sowie die Ernährungs- und Landwirtschaftsorganisation der Vereinten Nationen (FAO) in einer gemeinsamen Erklärung.

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01. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für „Ein Kaiser für den Tschad“ · Kategorien: Tschad

DW | 01.05.18

Der Tschad bekommt eine neue Verfassung: Sie räumt dem Präsidenten die absolute Alleinherrschaft ein. Doch obwohl das alles andere als demokratisch ist, drückt der Westen beide Augen zu, meint Dirke Köpp.

Der tschadische Präsident Idriss Déby Itno hat sich am Montag im übertragenen Sinn zum Kaiser krönen lassen: Nach dem Votum der Abgeordneten für die neue Verfassung verfügt er über nahezu uneingeschränkte Macht in seinem Land. Er ist wie ein Kaiser, der niemandem mehr Rechenschaft schuldig ist und den niemand absetzen kann. Er ist Staatsoberhaupt, Regierungschef und Militärchef in einem.

Der Staat als One-Man-Show

Die neue Verfassung sieht weder einen Vize-Präsidenten noch einen Premierminister vor, der Präsident hat die alleinige Entscheidungsgewalt, er kann das Parlament auflösen, wenn ihm dessen Entscheidungen oder Mehrheiten nicht genehm sind. Eine One-Man-Show. Demokratisch ist das nicht. Und im Tschad besonders schlimm, da Präsident Déby alles andere als ein lupenreiner Demokrat ist. Vielmehr bringt er kritische Stimmen mit Repression oder Einbindung in das Kartell der Macht zum Schweigen. Auch die friedlichen Proteste gegen die Abstimmung im Parlament am Montag waren von zahlreichen Festnahmen begleitet.

Seinen westlichen Partner sehen in Déby in erster Linie einen verlässlichen Partner im Kampf gegen den Terror und drücken bei Repression im Tschad meist beide Augen fest zu. Doch selbst ihnen hat er Sand in die Augen gestreut: Denn auf dem Papier reduziert die neue Verfassung die Zahl der präsidialen Amtszeiten auf nur noch zwei; zuvor konnte ein Präsident so oft antreten, wie er wollte. Das klingt nach einem richtigen Schritt in Richtung Demokratie – gerade in Afrika, wo Langzeit-Herrscher viele Staaten prägen. Zu oft schon haben afrikanische Staatschefs diese Modalität genutzt, um wieder und wieder bei Wahlen anzutreten. Es hat also den Anschein, als wolle Déby als Kämpfer für die Demokratie nach westlichen Standards in die richtige Richtung marschieren.

Doch parallel zur Reduzierung der präsidialen Mandate wurde die Dauer einer Amtszeit von fünf auf sechs Jahre erhöht. Und Präsident Déby interpretiert die neue Verfassung natürlich ausschließlich zu seinen Gunsten: Wenn seine laufende Amtszeit 2021 abgelaufen ist, beginnt die Zählung entsprechend der neuen Verfassung: Er kann sich also noch zweimal bewerben und so (im Fall einer Wiederwahl) für zwölf weitere Jahre im Amt bleiben. Erst 2033 müsste er unwiderruflich abtreten. Dann wäre er 81 Jahre alt und seit 43 Jahren Präsident des Tschad. Amtszeit-Begrenzung ja oder nein – für Präsident Déby persönlich macht das also gar keinen Unterschied. Auch das hat mit Demokratie und Meinungsvielfalt wenig zu tun.

Das Volk hat es angeblich gewollt

Die Regierung sagt zwar, das Volk habe die neue Verfassung gewollt und bezieht sich dabei auf eine sogenannte „Nationalkonferenz“ vom März. Was sie aber nicht sagt, ist, dass kritische Stimmen bei dieser Konferenz nicht zugelassen waren. In der Folge hatten Opposition und große Teile der Zivilgesellschaft die Konferenz boykottiert. Auch den Vorschlag der katholischen Bischöfe des Landes, das Volk per Referendum über die Änderungen abstimmen zu lassen, wurde von der Regierung abgelehnt. Kein Wunder: Im Parlament hat sie die absolute Mehrheit. Noch. Denn im November sollen die seit 2015 immer wieder verschobenen Parlamentswahlen stattfinden.

Doch der Ausgang dieser Wahl muss sich Déby trotz der vielen kritischen Stimmen in seinem Land ja nun keine Sorgen mehr machen: Denn wenn ihm das Parlament nicht gefällt, kann er es dank der neuen Verfassung ja dann einfach wieder auflösen. Schade, dass das alles in den westlichen Hauptstädten keine Rolle zu scheinen spielt bei der Zusammenarbeit mit dem obersten Terror-Bekämpfer Afrikas.

01. Mai 2018 · Kommentare deaktiviert für Mali: Viel Militär, weniger Sicherheit · Kategorien: Mali

Heinrich-Böll-Stiftung

Viel Militär, weniger Sicherheit

Mali – fünf Jahre nach Beginn der Intervention

Charlotte Wiedemann

Auf dem Weg in ein neues Afghanistan: Eine gute Studie über die Chronifizierung des Kriegs im Sahel

Fünf Jahre internationaler Militärintervention haben für Malis Bevölkerung keine Sicherheit gebracht. Vielmehr breiten sich die Zonen der Unsicherheit im Land immer weiter aus und der Staat ist heute in weniger Gebieten präsent als noch vor fünf Jahren.

Der offizielle Friedensprozess führte nicht zu einer Entmachtung der bewaffneten Gruppen, sondern zu einer Vervielfachung der Milizen. Zudem berücksichtigt er nicht die durch die Krise hervorgebrachten neuen Dynamiken in der jungen Generation und der gestärkten Opposition.

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28. April 2018 · Kommentare deaktiviert für „Menace terroriste et « conseils aux voyageurs » dans le Sahel : la cartographie de l’exclusion“ · Kategorien: Afrika, Mali, Sahel

Die Kartographie der französischen offiziellen „Reisewarnungen“ schneidet den Sahel nicht nur vom Tourismus, sondern auch von Kontakten zu KGOs, KorrespondentInnen und BeobachterInnen ab.

jeuneafrique | 25.04.2018

La carte des zones à risque publiée par le ministère français des Affaires étrangères condamne des régions entières à l’isolement, ce qui contribue à l’expansion de l’islam radical.

par Francis Akindes

Tribune. Face à la menace terroriste dans le Sahel, la France prend ses dispositions à l’intention de ses ressortissants établis dans la région ou projetant de s’y rendre. Au titre des « conseils aux voyageurs », le ministère des Affaires étrangères produit une carte des zones à risque mise à jour au rythme des attentats. La dernière en date a été publiée fin mars, immédiatement après l’attaque perpétrée à Ouagadougou.

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