Die algerische Regierung lässt im Kampf gegen die Harragas und den Transit afrikanischer Flüchtlinge und MigrantInnen den Verkauf von Navigationsinstrumenten und den Bau von Schiffen verschärft überwachen, neben der Kontrolle der Social Media.
Le Quotidien d’Oran | 17.02.2018
par Abdelkrim Zerzouri
Tout le monde est mis dans la même embarcation dans cette histoire de harraga. Emboîtant le pas au ministre des Affaires religieuses, qui a récemment estimé que le phénomène de l’immigration illégale, déclarée illicite par une fatwa du HCI, est une responsabilité collective et pas seulement des imams, le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, a considéré, de son côté, que la lutte contre la migration clandestine « est une question qui concerne l’ensemble de la société et pas uniquement les autorités publiques ». La lutte contre la migration clandestine « n’est pas du ressort exclusif des autorités sécuritaires et administratives, mais elle est l’affaire de tout un chacun et de l’ensemble de la société, car la responsabilité est partagée », a indiqué M. Bedoui lors d’une séance plénière du Conseil de la nation, consacrée aux questions orales.