Le monologue d’un harrag désabusé
«L’envie de cesser de souffrir est plus forte que le désir de vivre» Justine Lévy in «Rien de grave».par Kamal Guerroua*
Quotidien d’Oran, 26.07.2012
Si l’on prend par hasard une plume pour narrer le fait divers d’un harrag, sans doute, on interpellerait cette placide conscience qui germe dans les coeurs et ce serait «un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous» pour reprendre à mon compte une expression du romancier tchèque Franz Kafka (1883-1924) car plus personne ne vit ni ne sent en vrai une réalité qui n’est pas forcément sienne à moins d’être béni d’un don d’ubiquité aussi bien en vécus qu’en sentiments. Weiterlesen »