Regarding the situation of migrants and refugees in Greece:
Documentary ‚Into The Fire – The Hidden Victims of Austerity in Greece‘
http://intothefire.org/
The film has been released under a Creative Commons license and can be shared and embedded in websites and blogs. It is possible to organize screenings and discussions in non-commercial settings.
„«Gebt uns unsere Karren zurück»
In Rumänien werden die Roma gehasst und gedemütigt – aus Rassismus und Geschichtsvergessenheit
Von Mircea Cartarescu
Mit der Auflösung der realsozialistischen Ordnung in Osteuropa haben die Roma ihren gesellschaftlichen Halt verloren. Vor dem Hintergrund der heutigen prekären politischen und wirtschaftlichen Lage sehen sie sich vielenorts aggressiven Anfeindungen ausgesetzt. Besonders drückend ist die Situation in Rumänien. […]“
vollständiger Text:
Rumäniens gedemütigte Roma: «Gebt uns unsere Karren zurück» – Übersicht Nachrichten – NZZ.ch
Megafonen: „Ein einiger Vorort kann nie besiegt werden!“
http://megafonen.com/kultur/harakat/
http://www.dn.se/sthlm/har-fors-kampen-for-att-forandra-fororten
Ein einiger Vorort kann nie besiegt werden
Ismaël a 14 ans. Il vient d’Afghanistan, vit à Athènes, et il témoigne dans unevidéo diffusée par l’ONG Médecins du monde :
« Je suis descendu du métro à la station Attiki, et j’allais chez moi. Trois hommes sont venus derrière moi, ils m’ont tapé sur l’épaule et m’ont demandé d’où je suis.
Quand j’ai dit que je venais d’Afghanistan, ils ont commencé à me frapper. L’un d’eux m’a frappé au visage avec une bouteille de bière. Je me suis évanoui. […]
Press Release 2013.05.18: The Jobbik threat against the Debrecen Reception Centre
http://migszol.com/cikk/514
Migráns Szolidaritás Csoport (Migrant Solidarity Group) are horrified at the recent announcement by Jobbik to protest and demand the removal of the Debrecen Reception Centre this Saturday, 18 May, 2013. The idea of Jobbik was also endorsed by the mayor of Debrecen, Lajos Kósa (Fidesz), who announced that „if the situation remains as it is now, the reception centre has to be moved away from the city.”
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Touré Blamassi le président de l’Association des Etudiants et Stagiaires Africains en Tunisie (AESAT) est en Tunisie depuis 8 ans. Ce jeune homme parle facilement du rôle de la jeunesse et du besoin d’unité de l’Afrique et avant même qu’on ne l’interroge sur son lien avec la Tunisie, il explique son amour pour ce pays. Pourtant la situation évolue. L’attaque, lundi dernier, d’un immeuble dans le quartier de Lafayette n’est malheureusement pas le premier acte du genre contre des étudiants subsahariens, d’après M. Blamassi. Comme beaucoup d’étudiants, il a choisi de venir faire un bout de chemin en Tunisie mais il explique qu’aujourd’hui, ils sont de plus en plus nombreux à partir pour le Maroc.
Nawaat: Pouvez-vous présenter l’association des étudiants et stagiaires africains en Tunisie?
Touré Blamassi: C’est une association crée en 1993 démarche conjointe de la part de certains étudiants subsahariens, il y avait beaucoup de stagiaires à l’époque et quelques étudiants plutôt dans les écoles publics, beaucoup étaient boursiers. Elles ont voulus se regrouper en association pour apprendre des uns des autres et créer une plate-forme d’échange culturel pour que les étudiants se connaissent et pour faire connaître ces cultures à la population tunisienne.
Le deuxième volet était de défendre les droits des étudiants et stagiaires africains sur le sol tunisien et de leur porter assistance si besoin. Les autorités tunisiennes ont accepté la création de cette association qui a même bénéficié de subventions, ce qui est à mettre au crédit de l’Etat tunisien.
Tunisie : (vidéo) Les citoyens tunisiens noirs s’insurgent contre le racisme
2 mai, 2013 à 14:55
Le couvercle du racisme anti- noirs a sauté. Sous-jacent ce poison s’est libéré et preuve que le racisme anti-noirs n’est pas une anodine construction ou affabulation idéologique, les citoyens tunisiens noirs ont défilé, hier, à l’avenue Habib Bourguiba pour réclamer plus d’égalité et dénoncer la ségrégation qu’ils subissent de plein fouet au travail ou même au quotidien.
« Wassif », ce mot que l’on utilise souvent pour désigner un tunisien de couleur noir. Ce mot suscite encore l’embarras chez certains de nos compatriotes qu’ils évitent et gerbent à sa prononciation. « Wassif n’est pas une couleur » a scandé l’un des manifestants rejoint par une autre manifestante condamnant « la discrimination verbale », que les citoyens noirs ont à supporter au quotidien et qui revêt d’autres aspects au travail ou aux universités et autres institutions de l’état censées refléter le brassage tunisien.
Loin de vouloir se poser comme des victimes, les manifestants ont voulu attirer l’attention sur un phénomène que l’on feigne résolu ou inexistant et pour apporter un crédit à leurs revendications légitimes. Une loi discriminant les actes racistes dans cette constitution qui ne les « considère pas » et une représentation plus juste et équitable des noirs tunisiens dans la société.
mit Video-Link
http://www.webdo.tn/2013/05/01/scenes-de-racisme-a-tunis-contre-des-etudiants-africains/
Scènes de racisme à Tunis contre des étudiants africains
Publié par Bechir Abdelmoumen le 01 mai 2013 à 14:58
Etudiant africain arrêté (photo - France24)
Un immeuble du centre-ville, à l’avenue de la Liberté dans le quartier de Lafayette plus exactement, a été attaqué dans la nuit du 29 au 30 Avril par des individus. L’immeuble connu sous le nom de «Immeuble des Noirs», abrite quelques étudiants africains qui se trouvent en Tunisie pour leurs études.
France 24 a rapporté les faits à travers le témoignage d’une étudiante congolaise qui a filmé la scène (voir la vidéo). Cette dernière affirme que tout a commencé par une altercation entre un chauffeur de taxi et un étudiant sénégalais.
L’étudiant s’était plaint que le chauffeur de Taxi l’ai traité de «guerda». Une bagarre s’ensuit, le chauffeur de taxi sort de son véhicule avec un bâton pour frapper l’étudiant, qui réussi à lui subtiliser l’objet et le roue de coups.
Plus tard dans la soirée, le chauffeur de taxi revient avec quelques amis afin de se venger. Entendant des bruits au dehors, quelques étudiants africains se penchent par-dessus leurs fenêtres pour voir ce qui se passe. C’est à ce moment-là que le taximan et ses amis ont commencé à assaillir le bâtiment de jets de pierres, brisant quelques vitres.
L’étudiant décide alors d’appeler la police, qui, invraisemblablement, l’embarque de force au commissariat et ne fera aucune interpellation parmi les assaillants. L’étudiant sera finalement libéré au bout de deux heures. L’étudiante congolaise qui a assisté a la scène conclut son témoignage en relatant ce que certains Tunisiens lui ont lancée le soir de l’attaque : «Ben Ali est parti, ici c’est la Tunisie, pas l’Afrique».
Aujourd’hui, des étudiants africains et des tunisiens se sont rendus à la manifestation du 1er mai, devant l’ANC au Bardo, pour dénoncer le racisme dont ils sont l’objet (voir vidéo en bas de page). Rappelons que plusieurs étudiants d’Afrique subsaharienne sont inscrits dans les universités libres de Tunis et qu’ils en constituent dans certains cas la majorité.
squares@lists.takethesquare.net
Ich sehe es als meine Pflicht an, über das zu sprechen, was ich gestern im Polizeirevier Drapetsona, Piräus, gesehen habe. Ich weiß mir keinen anderen Weg, meinen Mitmenschen zu helfen, und ich erhoffe mir, dass Sie alle Ihren Beitrag dazu leisten, indem Sie die folgende Aussage kundgeben.
Gestern, am 27.03.2013, haben wir, aktive Bürger von Piräus, an einem Protest- und Beistandsmarsch teilgenommen. Das war unsere Reaktion auf den Hungerstreik, den die dort Gefangenen begonnen haben, nachdem sie – wie sie selbst bekannt gaben – verprügelt wurden. Einer von ihnen, Ibrahim Faraz, ein 28-jähriger Flüchtling aus Palästina, hat sogar versucht, sich das Leben zu nehmen. Als wir das Polizeirevier erreicht haben, erschien der Offizier und stellte sich vor die dort bereits anwesenden MAT-Polizisten[1] . Er informierte uns und hat es uns, einer Gruppe von fünf Menschen, genehmigt, das Revier zu betreten, um mit den Gefangenen zu sprechen.
