20. Juni 2013 · Kommentare deaktiviert für Mali „Vorläufiges Abkommen“ – Kommentar von Mediapart · Kategorien: Mali · Tags: , ,

Ouf!! l’accord de Ouaga est signé

19 juin 2013 Par kakadoundiaye

OUF !!

Depuis bientôt 15 jours, à Ouagadougou, une délégation des touaregs – MNLA et Haut Conseil-HCUA- représentant l’aménokal- et les autorités maliennes sous la conduite de Tiebile Dramé, discutent de la question de Kidal, de l’entrée des troupes maliennes dans ce réduit touareg., de la tenue des élections le 28 juillet prochain, du désarmement des touaregs, – de leur cantonnement- et des suites judiciaires à donner à leur déclaration d’indépendance qui s ‚est soldée par la mort d ‚une vingtaine de soldats maliens à Aguelhok- Ces négociations, conduites par D jibril Brisssolé, Ministre des Affaires Étrangères du Burkina et délégué de la CEDEAO, viennent d’aboutir après de nombreux allers et retours entre Bamako et Ouaga et la pression de Paris et d’Abidjan. Au grand soulagement de la communauté internationale qui voit là un processus tendant à désamorcer le syndrome de Kidal. La communauté touareg a accepté le principe selon lequel l’armée malienne et l’administratioin territoriale malienne pourraient s’installer à Kidal sous la direction d’une Commission comprenant 4 maliens et 4 touaregs devant fixer le calendrier et surveiller son exécution, le tout sous le contrôle de la France et de l’ONU – Minusma- afin que des élections puissent se tenir dans les conditions optimales.

Il a par ailleurs était prévu que le statut de l’Azawad serait négocié avec des autorités légitimes après les élections et que les suites judiciaires seraient en partie abandonnées sauf ce qui concerneraient les poursuites internationales.

Il est bien évident que cet accord accouché aux forceps ne tiendra que sous le contrôle et la volonté de la France et de la CEDEAO . Derrière, Sanogo, dont le sort est curieusement laissé de coté par les autorités tant maliennes que françaises et régionales, continue à agir et à attiser le ressentiment malien contre ces « blancs » qui ont tué une vingtaine de soldats dans des conditions et sous des formes hautement sauvages et répréhensibles à Aguelhok et derrière lui toute une partie de la classe politique qui entend utiliser ce ressentiment voire cette réaction ethnico-raciste à son avantage lors d’élections qui, outre le fait de se passer dans des conditions pour le moins discutables en l’absence de carte d’identité et de cartes d’électeur, du nombre des réfugiés loin encore d’envisager le retour soit au pays soit dans leur région d’origine où ils pourront prouver leur identité, organisée dans la précipitation risque fort de voir ré-apparaître ceux dont plus personne ne veut plus au Mali , cette classe politique à l’origine de toutes les corruptions, détournements et incompétences y compris militaires.

via Ouf!! l’accord de Ouaga est signé.

20. Juni 2013 · Kommentare deaktiviert für Mali: „Vorläufiges Abkommen“ – Dokumentation · Kategorien: Mali · Tags: , ,

«Accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix au Mali» « tamoudre.

09. März 2013 · Kommentare deaktiviert für Tunesien: Mehdi Mabrouk bleibt Kulturminister · Kategorien: Tunesien · Tags: ,

Mehdi Mabrouk, Autor der einzigen veröffentlichten Studie über die „Harragas“ (tunesische Boat-people) zu Zeiten des Ben Ali Regimes, bleibt weiterhin Kulturminister.

Babnet veröffentlicht am 08.03.2012 seine Kurzbiographie:

http://www.babnet.net/festivaldetail-61545.asp

Mehdi Mabrouk, qui vient d’être reconduit ministre de la Culture dans le gouvernement de Ali Larayedh, est né le 12 décembre 1963 à El Jem (gouvernorat de Mahdia).
Il est titulaire d’une maîtrise (1986) et d’un doctorat (1996) en sociologie de la faculté des Sciences Humaines de Tunis (9 Avril).
De 1986 à 1998, M.Mabrouk a occupé le poste de chef du service du personnel à „Dar Al-Koutub Al-Watania“ (Maison des Livres nationaux) au sein du Ministère de la Culture.
Il est, de 1999 à 2010, maître-assistant à la Faculté des Sciences Humaines et Sociales de Tunis.
Le ministre de la Culture est professeur et chercheur spécialisé en sociologie générale et sociologie du
travail, de la migration et la Culture.
Il est également membre de l’Unité de recherche sur la migration relevant du Centre des Etudes Economiques et Sociales; et a réalisé plusieurs études pour des organisations onusiennes et internationales concernées par la migration, dont le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés et le Comité International de la Croix Rouge.
M.Mabrouk est l’auteur de plusieurs ouvrages en arabe et en français traitant de « L’appartenance chez
l’élite tunisienne », « La violence verbale chez les jeunes » et « L’immigration clandestine ».

04. Dezember 2012 · Kommentare deaktiviert für Tunesien: Siliana kann die Regierung Ennahda zu Fall bringen · Kategorien: Tunesien · Tags: , ,

Einen wichtigen Text zum Aufstand in der tunesischen Stadt Siliana hat der Schriftsteller Ben Brik geschrieben. Er schildert die absurden Grausamkeiten der polizeilichen Spezialeinheit: Sie sind in einen Operationssaal eines Krankenhauses eingebrochen und haben dort Patienten misshandelt, sie sind in ein Frauen-Hammam eingebrochen, sie sind in die Häuser eingebrochen und haben die Frauen vor den Augen ihrer Familienmitglieder misshandelt, und sie haben bewusst mit Bleikugeln auf die Augen der Demonstranten geschossen. – Der Aufstand hat sich rund um die Stadt Siliana ausgebreitet, um auch in Dörfern und kleinen Siedlungen Mini-Fronten gegen die Polizei zu eröffnen, um sie zum Abzug aus Siliana zu zwingen. Barrikaden in der gesamten Region Siliana. Siliana könnte das Sidi Bouzid der Ennahda-Regierung werden, so Ben Brik.

http://www.slateafrique.com/99365/les-revoltes-organiques-de-siliana-revolution-sidi-bouzid-tunisie

Tunisie: Siliana, la ville qui peut faire chuter Ennhada

La grève générale de Siliana vue par Taoufik Ben Brik. L’écrivain tunisien se demande si cette ville est en train de devenir le Sidi Bouzid d’Ennahda?

Vendredi saint, 30 novembre. Siliana, chef lieu du centre ouest céréalier, en est à son troisième jour de grève générale. Une grève générale qui a ébranlé la Tunisie entière.

Même des bourgades habituellement «nonchalantes», Hammamet, Monastir, Jerba, ont manifesté avec brio et brouhaha leur soutien. Toutes les organisations et les partis d’opposition sont sur le pied de guerre. La presse est unanime. «Drame à huis clos», titre le journal La Presse, organe gouvernemental.

Répression aveugle

La Tunisie sous le choc. A «Dégage» au gouverneur de Silinana, neveu d’Hammadi Jebali, chef du gouvernement (même s’il le nie), la Securitate et bras de répression d’Ennahdha, a lancé une véritable expédition punitive contre ces «fauteurs de trouble», ces «contre-révolutionnaires», ces «nostalgiques de Ben Ali et Leila Trabelsi».

«Dégage n’a plus droit de cité, au temps d’un gouvernement légitime. Je dégage bien avant que le gouverneur dégage», menace grosso modo Jebali.

«Pour les beaux yeux d’un gouverneur, on a arraché les yeux aux jeunes manifestants de Siliana», dénonce le très bavard Habib Jouini, dit Zico, originaire de Siliana.

Carnage légitime. Silence, on aveugle en toute légitimité.

En trois jours, plus de 250 manifestants criblés de chevrotine, 22 touchés en pleins yeux.

«Toucher aux yeux c’est le summum de la cruauté. C’est l’instant où  l’humanité chavire dans les ténèbres», pour paraphraser Cormac McCarthy, le dernier géant de la littérature mondiale, toujours vivant.

«Les yeux… visez les yeux…», ordonne un gradé à des policiers novices nouvellement recrutés et heureux de «casser» du Siliani.

«C’est comme si toute la police du pays qui a débarqué à Siliana», lâche Mounir Sakraoui, syndicaliste.

Du Kef, de Zaghouan, de Nabeul, de Jendouba, de Béja, de Tunis, blindés, garde nationale, brigade d’intervention rapide, ont rappliqué, en renfort, pour mater les insurgés. Tirs de balles réelles, bombes lacrymogènes, matraques, fusils de chasse, violation de domicile nocturne et collective, bastonnade, ratonnade, chasse à l’homme et chevrotine…

«Trente policiers cagoulés et enragés ont investi le bloc opératoire de l’hôpital et malmené des patients. Du jamais vu », rapporte Dr Hassen Manai.

Même le hammam des femmes a été pris d’assaut par une horde de tuniques noires.

Ô mon Dieu, pourquoi?

Un homme interpelle Dieu. Un homme se tourne vers Dieu et se plaint contre la cruauté de ses créatures. Un homme s’étale sur la caillasse, hurle sa douleur :

«ya rabi, ya rabi âlech, Ô mon Dieu, Ô mon Dieu, pourquoi… pourquoi».

Tout autour une foule bigarrée et survoltée reprend en chœur: «Ya rabi … ya rabi…» L’homme, Am Taieb, la soixantaine avancée, la tête dégarnie et la pauvreté qui se lit sur les yeux, pleure à chaude larme:

«Ils nous canardent avec des fusils de chasse… Ils nous prennent pour du gibier, ils nous gazent dans notre sommeil.»

Une femme âgée et tout de noir vêtue se lamente:

«Mon fils, Wildi, est bousillé… Ils n’a plus de dents, plus de z’yeux… Il priait à la mosquée… Ya rabi Alech…»

Pourquoi, Ô Dios. Siliana meurtrie, Siliana bafouée, Siliana profanée… Pourquoi? Pour rien. Sans motif. Sans casus belli. Pour une grève générale pacifique. Aucun lampadaire tombé, aucune vitre cassée, aucun établissement public envahi.

«Manifestation paisible et en bon ordre», dit Bilel Lounissi qui vient de perdre un œil… «gratuitement».

«A cause de la bêtise animale des policiers», renchérit Ammar Adi, autre estropié.

«Ils insultent les femmes. Ils se déshabillent devant elles et nous montrent leur sexe. Ils pissent à même le sol, à l’intérieur de nos maisons. Ils tiennent les femmes devant leur mari, ouvrent de force leur bouche et leur crachent dedans, avec un torrent de mots orduriers», raconte, non sans dégoût, Khalti Mounira, une femme âgée qui a eu sa dose de chevrotine.

Théorie du complot

«On l’accuse d’avoir lu Mao Tsé Toung», ironise Jamel, son fils cadet, un numéro. Une Hogra qui me rappelle la démence des conquistadors espagnols et portugais dans Aguirre, la colère de Dieu de Werner Herzog, et les Révoltés du Bounty de Lewis Milestone.

Bien sûr, dans la tête de nos décideurs new-look, «made in Qatar», médisent les langues de pute, trotte toujours un complot. Pour eux, «preuve à l’appui», c’est Chokri Belaid et Hamma Hammami, deux figures de la gauche tunisienne, qui manipulent les Silianii, moyennant un peu de Bakchich.

Blessé dans son orgueil, comme tous les Silianii par ailleurs, Néjib Sebti le flegmatique secrétaire général de l’Union régionale des travailleurs tunisiens et néanmoins principal organisateur de l’insurrection, dénonce:

«On veut même nous enlever la capacité d’organiser une grève générale. Ils veulent nous salir, nous présenter sous une image de gens mineurs téléguidé par des tuteures manipulables qu’on peut sadoyer à volonté…»

S’organiser, faire face à l’hostilité, déjouer l’adversité, les Silianii «l’ont tété depuis leur prime enfance et l’ont étudié comme si c’était des beaux arts.»

Les brigades rouges de Siliana

Arrière-petits fils de Takfarinas et d’Annibal Barca (C’est à Zama qu’ Annibal a croisé le fer pour la dernière fois avec les légions romaines), les Siliani ont stoppé avec brio l’hostilité de la police.

Toutes les bourgades du gouvernorat, Makthar, Gâafour, Bourada, Sidi Bourouis, Lakhwet, Laaroussa, Kisra, Rouhiya, Bargou, El Krib ont ouverts de mini-fronts pour desserrer l’étau sur Siliana et attirer la police et disperser leur force.

Toutes les routes qui mènent à Siliana sont parsemées de barrages de fortunes, faites de pierres, d’arbres et de carcasses de voitures calcinées. Barrages gardés, contre toute attente, par des gamins terribles, intransigeants qui prennent à cœur leur mission d’apprenti Jedi, de jeunes Padawan.

«Mieux que des révoltés à l’improviste, les Siliani se sont métamorphosés en de véritables hommes organiques à la Gramsci, structurant à merveille leur soulèvement politique», m’explique mon frère Jalel, porte parole de la Ligue ouvrière de gauche, parti trotskiste et proche ami du sous-commandant Marcos.

30 novembre, 11 heures, je sillonne l’interminable avenue de l’environnement, principale et unique artère de la ville, après trois heures de route cahoteuse, de panne et de négociations avec les gamins barragistes. Un air d’After Day règne sur le macadam.

Peuple de Siliana dégage!

Pas âme qui vive. Commerces fermés, voitures stationnées, polices démobilisées. On dirait un magnétophone débranché. Les Siliani ont décidé de se retirer de la ville, la laissant aux mains des envahisseurs.

«Le gouverneur refuse de déguerpir, c’est au peuple de Siliana de dégager.»

Un cortège funèbre, en guise de méga-marche, sur dix kilomètres en dehors de la ville, direction le cimentière de Sidi M’ssayed, pour enterrer deux cadavres exquis: Hammadi Jebali et son neveu de gouverneur.

Un serpent de 30.000 têtes, ivre et fier qui chante a tue tête et danse sous le rythme endiablé de «Targ Essid», chant montagnard et belliqueux des insoumis de la Numidie profonde. Siliana indomptable.

Tard, dans la nuit lumineuse et précieuse de Siliana, El cartouche continue de faire des youyous et les pierres de prendre les policiers pour stand de tirs. Pour le retour, j’ai dû prendre des routes de traverse.

Tous les chemins qui mènent à Tunis sont transformés en champs de batailles. Les combats font rage. Dernière nouvelle du front Ouest: Bargou, Gâafour, El Krib proclament la grève générale…c’est l’entrée de la cinquième armée du général Patton. Hourra… Hourra…Hourra… Y viva La Révoluçion.

Taoufik Ben Brik

 

04. Dezember 2012 · Kommentare deaktiviert für Italienische Patrouillenschiffe für tunesische Boat-people-Jagd · Kategorien: Italien, Tunesien · Tags: ,

Der tunesische Innenminister Ali Larayedh hat am 01.12.2012 in Italien von der italienischen Innenministerin Anna Maria Cancellieri ein Anti-Harragas-Geschenk bekommen: Zwei Patrouillenschiffe P350, 35 Meter lang und im Wert von 16 Mio Euro, für die Tunesische Nationalgarde, für den „Kampf gegen die klandestine Migration und zur besseren Überwachung der tunesischen Küsten“. Ein drittes Patrouillenschiff im Wert von 6 Mio Euro wird die italienische Regierung der tunesischen Regierung in Kürze übergeben. Die Geschenke gehen auf ein Abkommen zurück, dass die tunesische Übergangsregierung Essebsi mit Berlusconi im Mai 2011 abgeschlossen hat. Zuvor wurden aufgrund dieses Abkommens bereits vier italienische Patrouillenschiffe an Tunesien übergeben.

http://nawaat.org/portail/2012/12/04/storyboard-en-italie-ali-larayedh-recoit-un-cadeau-dune-valeur-de-16-million-deuros/

02. Dezember 2012 · Kommentare deaktiviert für Tunesische Regierung: Sofortige Einkommensgarantie für Revolutions-Verletzte und Märtyrerangehörige · Kategorien: Tunesien · Tags: , ,

Am 01.12.2012 hat die tunesische Regierung – fast 2 Jahre nach Revolutionsbeginn und angesichts der laufenden Sozialrevolte im Land – Schnellmassnahmen zugunsten derer beschlossen, die bei der Revolution 2010/2011 verletzt wurden oder die Angehörige bei den Aufständen damals verloren haben.

Entweder sollen die Verletzten bzw. 1 Familienmitglied eines Märtyrers in den Staatsdienst eingestellt werden, oder sie erhalten bis zum angebotenen Job eine monatliche Entschädigungsrente. Ausserdem werden sie von Kosten im Gesundheitswesen und beim Transport in öffentlichen Verkehrsbetrieben befreit. Bedürftige unter ihnen sollen auch schnelle Sozialwohnungen erhalten.

Seit knapp 2 Jahren kämpfen diese Gruppen um entsprechende Entschädigungen und halten die sozialen Versprechen der Revolution wach.

Weiterlesen »

01. Dezember 2012 · Kommentare deaktiviert für Krise in Tunesien (1) · Kategorien: Tunesien · Tags: , , , ,

Verletzter in Siliana, Schrotkugeln im Gesicht (http://nawaat.org/portail/)

Am Abend des 30.11.2012 ist die Armee in der Stadt Siliana aufgezogen, in dem seit Tagen ein Generalstreik und ein lokaler Aufstand stattfindet. Die Armee stützt sich dabei auf ein Abkommen mit der Gewerkschaft UGTT. Demnach soll zeitgleich mit dem Einzug der Armee die Polizei und die Nationalgarde aus dem Ort abgezogen werden. Die Soldaten sollen in Siliana freudig begrüßt worden sein.

Der sich ausbreitende Aufstand in der Region Siliana und auch in anderen tunesischen Städten und vor allem die masslose polizeiliche Repression haben überraschend große internationale Beachtung gefunden.

Am Abend des 30.11.2012 hat der tunesische Übergangspräsident Moncef Marzouki in einer Fernsehansprache von „legitimen Anliegen“ der Bevölkerung, aber von „illegitimen Kräften“ der Instrumentalisierung der Proteste gesprochen. Er hat die Bildung einer neuen Regierung vorgeschlagen, gebildet nur aus Technokraten. Auch sollten die Wahlen vor Sommer 2013 stattfinden, um den staatlichen Institutionen mehr Legitimität zu verleihen.

http://www.tunisienumerique.com/tunisie-moncef-marzouki-chacun-doit-assumer-ses-responsabilites/155124

http://www.tunisienumerique.com/tunisie-larmee-se-deploie-a-siliana/155145

http://www.tagesschau.de/ausland/tunesien616.html

 

 

24. September 2012 · Kommentare deaktiviert für Deutsch-tunesische Akademie für gute Regierungsführung · Kategorien: Deutschland, Tunesien · Tags:

Das Kooperationsprojekt der Regierung der Bundesrepublik Deutschland mit der Republik Tunesien, organisiert von der Europäischen Akademie Berlin, findet im laufenden Jahr mit Seminaren in Tunis und Berlin statt. Für die Zukunft ist eine institutionelle Verfestigung vorgesehen, schreibt die tunesische Nachrichtenagentur TAP.

http://www.tap.info.tn/fr/fr/component/content/article/47/33302.html

http://www.eab-berlin.de/Deutsch-Tunesische-Akademie.341.0.html

 

18. September 2012 · Kommentare deaktiviert für Marzouki ist nicht weit gekommen · Kategorien: Tunesien · Tags: ,

Der tunesische Übergangschef Moncef Marzouki hatte angekündigt, dass er heute mit Familienangehörigen auf einem Schiff bis nach Lampedusa fahren wollte, um der Toten des letzten Flüchtlingsschiffs zu gedenken. Zwischen 50 und 79 Menschen waren bei der Felseninsel Lampione 12 Seemeilen vor Lampedusa ertrunken.

Marzouki bestieg ein Schiff der tuneischen Marine. Nach einer Meldung von Radio Mosaique soll er von einigen Ministern und dem General Rachid Ammar, dem Befehlschef des tunesischen Militärs, begleitet worden sein.

Doch das tunesische Militärschiff mit Marzouki an Bord kam nur bis einige Meilen vor Sfax und machte dann kehrt. Im Internet-Ticker heisst es nun, dass Marzouki auf das Schicksal von Harragas aufmerksam machen wollte, die von der Küstenwache abgefangen werden.

http://www.tunisienumerique.com/tunisie-moncef-marzouki-sur-les-traces-des-immigres-clandestins/144690

 

 

10. Juli 2012 · Kommentare deaktiviert für Tunesien: Alle bilateralen Migrationsabkommen werden revidiert · Kategorien: Tunesien · Tags: ,

Unter Leitung der tunesischen Staatssekretäre Karim Azzouz und Houcine Jaziri wird in Tunesien ein offener politisch-gesellschaftlicher Prozess zur Überprüfung und Revision aller Migrationsabkommen mit dem Ausland angekündigt. Die tunesische Regierung ermutigt, organisiert oder kooptiert derzeit alle erreichbaren Vereine von AuslandstunesierInnen, um Schlagkraft und Konsens für die vorgenommenen Aufgaben aufzubauen. Tunesische Wirtschaftsgruppen und verschiedene Ministerien sind beteiligt.

Inzwischen haben die Vertreter auslandstunesischer Vereine („Forum des associations des Tunisiens à l’étranger“) den Vorschlag der tunesischen Regierung gebilligt, einen Hohen Rat der Emigration („Conseil supérieur de l’émigration“) aufzubauen, d.h. einen Beirat mit 70 bis 100 VereinsvertreterInnen.

Ob dieses neue politische Kraftfeld tatsächlich zu einer handlungsfähigen Kritik der EU-Abchottung oder aber zu einer Bestätigung der tunesischen Gendarmenrolle für die Festung Europa führen wird,ist derzeit nicht ausgemacht.

Helmut Dietrich (FFM)

Zur Meldung über die Formierung des „Conseil supérieur de l’émigration“ siehe:

http://www.businessnews.com.tn/Tunisie—Vers-la-cr%C3%A9ation-d%E2%80%99un–Conseil-sup%C3%A9rieur-de-l%C3%A9migration-,520,32207,3