Tunisie – Émeutes à Feriana : La police se retire, déploiement de l’armée
Selon le correspondant de Shems FM, Les forces de l’armée nationale de la délégation de Feriana à Kasserine ont été obligées de tirer des coups de feu dans l’air afin de disperser les manifestants.
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In der Region Gafsa haben BewohnerInnen der Stadt El Gtar am 05.01.2014 die Überlandstraßen blockiert sowie das Polizeirevier und den Regierungssitz abgebrannt. Es kam zu Auseinandersetzungen mit der Polizei. Grund der Unruhen ist die Einstellungspraxis staatlicher Unternehmen.
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Tunisie – Heurts violents entre police et habitants d’El Gtar (Gafsa)
Des heurts violents ont opposé des agents de la police et des habitants de la ville d’El Gtar (Gafsa), dimanche 5 janvier 2014.
Les manifestants, protestant contre les résultats du concours de recrutement de la société de l’Environnement, ont bloqué des routes et incendié le poste de police de la ville ainsi que le siège de la délégation, selon plusieurs radios de la place.
On notera que des violences ont également éclaté la veille et que les forces de l’ordre ont riposté en usant de gaz lacrymogène. S.T.
Die Unruhen der letzten Wochen in Ghardaia sind sozialen Ursprungs. Der Aufstand geht um Wohnung, Einkommen und Stop der staatlichen Diskriminierung. Die Polizei und arabische Jugendliche gingen mit Steinen, Tränengasgeschossen und Brandstiftung gemeinsam gegen die mozabitische Bevölkerung vor und lancieren eine ethnisierende Version des Aufstands. (Die Lokalbevölkerung spricht eine Berbersprache und gehört nicht der muslimischen Mehrheitsströmung Algeriens an.)
Hier ein Video, das das Zusammenspiel von angreifenden Polizisten und arabischen Jugendlichen zeigt:
Abécédaire du M’zab effervescent
Ghardaïa : les mots-clés du conflit
«Affrontements intercommunautaires», «Conflit confessionnel», «Ibadites», «Malékites», «Mozabites», «Chaâmbas», «Fitna», «Majliss el Aâyane», «Violences cycliques», «Médiation», «Manipulation», «parti pris de la police», «Initiative Sellal»… Autant de mots-clés qui reviennent en boucle quand on tape «Ghardaïa» sur Google. Autant d’«éléments de langage» qui appellent réflexion. A Ghardaïa, on slalome entre les pierres et les récits, au point de se perdre dans l’écheveau des venelles et des interprétations. «Les nations elles-mêmes sont des narrations», écrit Edward Saïd dans Culture et Impérialisme. Les conflits aussi, sommes-nous tentés d’ajouter.
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Kamel Eddine Fekhar. Militant des droits de l’homme à Ghardaïa
«Il y a une politique d’Etat programmée pour effacer l’identité mozabite»
– D’abord, qu’est-ce qui a déclenché, selon vous, ces événements qui ont ébranlé Ghardaïa ?
Je note d’emblée que les gens ne cherchent que le sensationnel. «Combien y a-t-il eu de morts ?» ; «Combien de blessés ?» ; «Comment cela a commencé ?» ; «Le wali s’est réuni avec les imams et les notables»… C’est un scénario vraiment périmé qu’on nous sort à chaque fois. Cela n’a aucun sens de s’interroger sur la manière dont les événements ont commencé, parce que cela va se répéter. Depuis 1962, c’est la même histoire qui recommence. Ça ne s’est jamais arrêté. C’est un film d’horreur qu’on est en train de vivre, avec différents épisodes. Il y a une volonté politique, une politique d’Etat affirmée et confirmée pour détruire l’identité d’un groupe, et cela s’appelle un ethnocide. Pourtant, c’est une identité qui ne devrait déranger personne. On est chez nous, on est dans les terres de nos parents, je parle une langue différente, on a une pratique un peu différente de la religion. Voilà tout.
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Affrontements intercommunautaires
A Ghardaïa, c’est le pourrissement…
Une lourde tension pesait hier sur Ghardaïa après les affrontements intercommunautaires. Certains commerces ont ouvert, mais les deux camps s’observent malgré les appels au calme. La ville était toujours quadrillée vendredi par la police, qui avait dénombré la veille 40 blessés dans ses rangs, et donne l’impression, triste spectacle, d’être plongée dans un climat de guerre.
Colère à Baraki, Cherarba, Réghaïa : Alger sous haute tension
par Yazid Alilat
C’est une bien triste fin d’année 2013 pour la capitale qui a connu des mouvements de protestation dans plusieurs quartiers, mobilisant parfois d’importants déploiements des forces de l’ordre.
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Ghardaïa : 40 policiers blessés, 8 arrestations et des magasins incendiésven
La situation dans la ville de Ghardaïa s’est aggravée. Hier, un calme précaire a été constaté dans la cité durant quelques heures seulement puis les violences ont repris.
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UNE SÉRIE D’ÉMEUTES ONT SUBITEMENT ÉCLATÉ À TRAVERS LE PAYS
Un timing douteux
Par Walid AÏT SAÏD, L’Expression
Les manifestants bombardant les CRS de projectiles et cocktails Molotov
Baraki, Bachdjarah, Réghaïa, Staouéli, Bordj Menaïel, Béjaïa, Jijel, Ghardaïa ont connu une semaine des plus enflammées. Cette succession d’événements et leur timing laissent planer des interrogations: qui veut enflammer le pays?
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Neue Riots in Tunesien
[mit Kurzvideos!]
In den tunesischen Städten Gafsa und Siliana ist es gestern zu neuen Unruhen gekommen. Anlass war der Jahrestag der blutigen Auseinandersetzungn in der Region vor einem Jahr. Bei den letztjährigen Protesten waren die Bullen massiv mit Schrotmunition gegen die Demonstranten vorgegangen, durch gezielte Abgabe von Schüssen in Kopfhöhe hatten Dutzende ihr Augenlicht verloren. Die örtlichen Gruppierungen des Gewerkschaftverbandes UGGT hatten deshalb zu einem Generalstreik und Demonstrationen in der Region aufgerufen.
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